Rafting et hydrospeed en Isère

Les embarcations sont insubmersibles, ce qui n'est pas forcément le cas des passagers. Avant de se jeter a l'eau, mieux vaut un peu de pratique au sec.

On va coordonner un peu cette équipe car il y a eu un petit désordre.

Conseils pour bien caler son pied, avoir une position équilibrée. Bernard Teiller surfe sur les eaux vives depuis 30 ans.

Maintenant on va pouvoir ramer en avant pour propulser le bateau. Joli, là on est bien.

Une descente de 40 minutes dans les torrents du Veneon, ravives par la fonte des neiges au coeur du parc naturel des Ecrins.

On est sur une rivière classe 3, difficulté moyenne. C'est un parcours pour accueillir le grand public et faire découvrir. Il y a quand même des belles vagues, on est sur une belle journée. Un peu de technique, on met le bateau en travers et on avance.

Pagayer fort pour garder le cap et pour plus d'adrénaline.

Les sensations ! C'est vraiment terrible.

Ça fout la trouille, mais ça va, on sent qu'on maîtrise. Et puis Bernard nous rassure.

Bernard propose aussi une courte pause à la chute de Lanchatra. La aussi, rafraîchissante. Il fait 28 degrés et pas plus de 5 degrés sous la cascade. Retour sur l'eau pour de nouvelles sensations fortes. Outre le rafting, les torrents se pratiquent aussi en hot-dog, ce canoë souple de deux places ou en hydrospeed. Flotteurs, palmes et combinaisons rembourées, le contact est total. A tout moment, les moniteurs veillent.

Les sensations, c'est génial, à refaire.

Un bon moment pour décompresser de toute l'année, le décor est fabuleux.

Pas sûr que ces nageurs aient pu profiter du paysage, ou alors entre deux vagues, entre deux respirations.

Merci de votre fidélité, dans un instant, la météo, suivie de "Qui sera le prochain grand pâtissier", avec Virginie Guilhaume. L'information, demain, c'est dès 6H30 dans Télématin. A 13H, Nathanaël de Rincquesen.