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Nicolas Sarkozy "souhaite" un nouveau nom pour l'UMP

Invité du journal de TF1 ce dimanche, Nicolas Sarkozy s'est exprimé après son élection samedi soir à la tête de l'UMP. Il s'est engagé à la tenue de primaires en vue de l'élection présidentielle de 2017, et a admis que sa candidature est désormais "une question qui se pose". Il a aussi expliqué qu'il souhaitait un nouveau nom pour son parti et rassembler autour de ce dernier.
Article rédigé par Matthieu Mondoloni
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
  (Nicolas Sarkozy sur TF1 dimanche soir. © Capture d'écran / TF1)

Invité du journal de TF1, Nicolas Sarkozy a annoncé dimanche soir, au lendemain de sa réélection comme président de l'UMP, qu'il allait créer, pour l'aider , "un comité des anciens Premiers ministres " de son camp. Indiquant qu'il avait déjà rencontré le matin Dominique de Villepin, l'ex-chef de l'Etat a déclaré : "Je créerai un comité des anciens Premiers ministres de notre famille politique qui m'aideront, de leurs conseils, de leur expérience, dans la conduite de cette famille politique ".

"Nous n'avons pas le droit de nous diviser ", a-t-il encore insisté. Et de dire qu'il fera "en sorte que les conditions du rassemblement soient réunies ". "Je n'ai pas l'intention de conduire cette famille politique seul.

"Je n'ai pas l'intention de conduire cette famille politique seul" (Nicolas Sarkozy)

Après son élection samedi avec 64,5% des suffrages, Nicolas Sarkozy n'a pas obtenu le plébiscite souhaité et est obligé de composer aujourd'hui avec plusieurs ténors de l'UMP, dont Bruno Le Maire, auteur d'un très bon score samedi, Alain Juppé ou François Fillon (deux anciens Premiers ministres) qu'il a promis de rencontrer rapidement. Edouard Balladur et Jean-Pierre Raffarin (chef des gouvernements sous Jacques Chirac) feront également parti de ce comité.

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Nicolas Sarkozy a également indiqué qu'il "souhaitait " que l'UMP ait un nouveau nom, et qu'il s'engageait à ce que se tiennent des primaires en vue de l'élection présidentielle de 2017.

Sera-t-il lui-même candidat à ces primaires ? "La question se pose ", a sobrement répondu l'ancien chef de l'Etat.

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