Législatives : après l'agression de Nathalie Kosciusko-Morizet, la classe politique solidaire
Après l'agression de Nathalie Kosciusko-Morizet, la classe politique est solidaire. Les témoins décrivent une agression violente.
Elle est restée inanimée de longues minutes avant d'être prise en charge par les pompiers. Nathalie Kosciusko-Morizet était en train de tracter sur un marché parisien lorsqu'un homme d'une cinquantaine d'années est venu l'agresser. L'agresseur a pris la fuite dans le métro.
Son adversaire suspend sa campagne électorale
Nathalie Kosciusko-Morizet, elle, a été transférée à l'hôpital Cochin, où elle reçu la visite du Premier ministre, Édouard Philippe, qui condamne cette agression : "Les hommes qui expriment cette violence physique à l'égard de femmes qui sont à la fois plus petites et plus légères, ne m'inspirent que du mépris", a déclaré le Premier ministre. Condamnation unanime de la classe politique : les leaders de tout bord lui ont apporté leur soutien, y compris son adversaire aux élections législatives, Gilles Le Gendre, candidat LREM, qui lui a témoigné sa sympathie, et a décidé de suspendre sa campagne électorale jusqu'à nouvel ordre.
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