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Attaque du Hamas contre Israël : pour l’État hébreu, le dilemme des otages du Hamas

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Attaque du Hamas contre Israël : pour l’État hébreu, le dilemme des otages du Hamas
Article rédigé par France 2 - C. Verove, M. Burgot, R. Duroselle, S. Fel, @RevelateursFTV, Y. Kadouch, L. Feuillebois
France Télévisions
Quelle place occupent les 120 otages dans l’esprit du pouvoir politique et militaire israélien ? Le premier ministre, Benjamin Netanyahou, a confirmé qu’il n’y aurait pas de négociation avec le Hamas.

Unis dans la détresse, des centaines d’Israéliens se sont rassemblées à Tel-Aviv (Israël), vendredi 13 octobre. Ils ont imploré le retour de leurs proches, enlevés par le Hamas. "Notre seul espoir est de revoir notre enfant. On ne peut pas penser à autre chose", confie Katia Weiser, la mère d’un enfant enlevé. En matière d’otages, l’armée israélienne a traditionnellement une doctrine : les récupérer coûte que coûte. En frappant fort et vite, comme sur des images tournées samedi. 

La donne a changé 

On y voit une unité d’élite intervenir, libérant des otages. Habituellement, Israël est aussi prêt à négocier. En 2011, le seul sergent Gilad Shalit était échangé contre la libération de plus de 1 000 prisonniers palestiniens. Cette fois, la donne a changé, par le nombre d’otages d’une part : 120 d’après l’armée israélienne. Selon le Hamas, des femmes et enfants seraient retenus à différents endroits de Gaza.

L’opinion publique israélienne a également évolué. La seule issue pour les familles d’otages binationales ou étrangères est de se tourner vers leur gouvernement. 

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