Pays-Bas : embouteillage de vélos

Pour les plus gros, c'est réalisable mais aujourd'hui, il faut uin plan de démantèlement pour chaque nouveau satellite.

Embouteillages, files interminables, places de parking insuffisantes, vous pensez aux problèmes que rencontrent les automobilistes.

Quand le feu passe au vert, les cyclistes s'élancent et tentent de se croiser sur ce carrefour du centre d'Amsterdam. Il est 7 h du matin, et malgré les embouteillages, les Néerlandais adorent leur moyen de locomotion.

J'ai trois vélos et je compte en acheter un 4e.

Si les vélos étaient remplacés par des voitures, ce serait pire.

C'est le seul moyen pour transporter mes enfants.

Dans cette ville de 800 000 habitants, il y a 1 million de vélos qui envahissent trottoirs et ponts. Une brigade spéciale vient enlever ceux qui gênent.

Chaque année, dans le centre d'Amsterdam, nous enlevons plus de 40.000 vélos.

Ils sont emmenés dans cette immense fourrière en banlieue. Chaque habitant a souvent deux vélos: un pour la semaine et les enfants, l'autre pour le week-end et le sport La place manque donc dans la ville et il faut construire des emplacements sur les canaux.

Cet immense parking, de milliers de places, est complet dès 8h du matin.

Cet ancien ferry a été réquisitionné. Un parking flottant sur deux niveaux. Pour l'association des cyclistes de la ville, cela ne suffit pas.

Il faudrait construire au moins 10.000 places de parking en centre-ville.

A Eindhoven, on a construit un rond-point à 3 m du sol, réservé aux seuls cyclistes.