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Visite du Pape à Marseille : "On pouvait vivre (...) un moment de communion", rapporte le Frère Thierry Hubert

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Le 19/20 info reçoit le Frère Thierry Hubert, producteur du "Jour du seigneur" sur France 2. Samedi 23 septembre, il a assisté à la grande messe tenue par le Pape François au stade Vélodrome. Il revient sur cette célébration et livre son ressenti.
Visite du Pape à Marseille : "On pouvait vivre (...) un moment de communion", rapporte le Frère Thierry Hubert Le 19/20 info reçoit le Frère Thierry Hubert, producteur du "Jour du seigneur" sur France 2. Samedi 23 septembre, il a assisté à la grande messe tenue par le Pape François au stade Vélodrome. Il revient sur cette célébration et livre son ressenti. (franceinfo)
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Le 19/20 info reçoit le Frère Thierry Hubert, producteur du "Jour du seigneur" sur France 2. Samedi 23 septembre, il a assisté à la grande messe tenue par le Pape François au stade Vélodrome. Il revient sur cette célébration et livre son ressenti.

Comment le Frère Thierry Hubert, producteur du "Jour du seigneur" sur France 2, a-t-il vécu la célébration historique de la messe du pape François au stade Vélodrome ? "J’ai eu l’impression d’avoir été quelque part Marseillais tant la ferveur, que l’hospitalité, l’accueil qui a été fourni par ces 60 000 personnes se dégageait. On pouvait vivre comme ce que les messes veulent faire, c’est-à-dire un moment de communion", confie le Frère Thierry Hubert au micro du 19/20 info, samedi 23 septembre.

Apprendre à vivre ensemble

Le pape a-t-il finalement eu l’impression de venir à Marseille ou en France ? "Je pense que là, il y avait un peu la réponse du berger à la bergère (...). Cette avant ouverture de la messe en disant ‘Bonjour Marseille, bonjour la France’, là tout d’un coup, on était tous embarqué", pense le Frère Thierry Hubert. En tout cas, ce qui va rester de la visite du Pape et de la messe, c’est son combat pour les migrants qui meurent en Méditerranée. Une société "doit apprendre à vivre ensemble alors qu’il y a tant de différences entre nous", conclut le Frère Thierry Hubert. 

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