Sur la place Rouge, on pavoise. Hillary Clinton inquiétait les Russes. Le maître du Kremlin a déjà félicité Donald Trump dans l'espoir, écrit-il, de restaurer enfin les relations russo-américaines pour travailler à la sécurité mondiale. Félicitations, également, des grandes puissances voisines, la Chine et l'Union européenne, mais le président du Parlement européen, Martin Schulz, est prudent, et parle d'un "moment difficile dans les relations entre l'Europe et les États-Unis".Les colons israéliens jubilentDu reste du monde proviennent des réactions encore plus préoccupées. L'Iran félicite Donald Trump mais lui demande déjà de respecter l'accord sur le nucléaire iranien de juillet 2015. En Israël, les colons se réjouissent. Pour eux, Trump ne soutiendra pas un État palestinien et il a promis de déménager l'ambassade américaine à Jérusalem. Plus largement, le monde islamique exprime son inquiétude suite aux propos de Donald Trump, qui a promis d'interdire l'entrée des États-Unis aux musulmans.