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Les premières photos de Palmyre après sa reprise à Daech par l'armée syrienne
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié le 28/03/2016 14:21
Mis à jour le 28/03/2016 14:22
L'armée syrienne, appuyée par son allié russe, a infligé une cuisante défaite au groupe djihadiste Etat islamique en lui reprenant la ville de Palmyre, cité antique du centre de la Syrie inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco. Etat des lieux avec des photos exceptionnelles. La ville était tombée entre les mains de Daech en mai 2015.
Ruines "Interdiction de tirer sans l'autorisation de l'émir", inscription de l'Etat islamique sur le site archéologique
Le régime de Bachar al-Assad a réussi, avec l'aide de l'armée russe, à reprendre Palmyre, prise par les jihadistes de Daech en mai 2015. Il faudrait plus de cinq ans pour restaurer les monuments détruits. (LOUAI BESHARA, STRINGER / AFP)
"Interdiction de tirer sans l'autorisation de l'émir", inscription de l'Etat islamique sur le site archéologique (MAHER AL MOUNES / AFP)
La photo de l’Agence officielle Nouvelles (SANA) le 27 Mars, 2016 montre les destructions dans le musée de Palymre. Les archéologues se précipitent dans la ville antique pour évaluer les dommages causés par le groupe Etat islamique, après qu'il a été renversé par l'armée syrienne dans une bataille sanglante. (STRINGER / AFP SANA / AFP)
Des oeuvres d'une inestimable valeur ont été volées au Musée archéologique (STRINGER / AFP SANA / AFP)
Des soldats de l'armée syrienne dans les rues de Palmyre après avoir chassé les derniers éléments de l'EI de ville. (MAHER AL MOUNES / AFP)
Un membre des troupes du gouvernement syrien passe devant une banderole de l'Etat islamique des slogans dans les rues endommagées des quartiers résidentiels de la ville moderne à côté de l'ancienne ville syrienne de Palmyre. (MAHER AL MOUNES / AFP)
Dans certaines salles du Musée de Palmyre, il ne reste plus aucune ouvre après la fuite des derniers membres de Daech. (Mikhail Voskresenskiy / RIA Novosti/AFP)
Le photographe russe Mikhail Voskresenkiy, de l'agence RIA Novosti, a été le premier sur les lieux. Il a pu constater que certaines statutes n'ont pas totalement été endommagées au Musée de Palmyre. (Mikhail Voskresenskiy / RIA Novosti/AFP)
Un militaire admire des fresques qui ont survecu au vandalisme et au pillage. (Mikhail Voskresenskiy / RIA Novosti/AFP)
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