Cet article date de plus de six ans.

Londres : un policier britannique contaminé par l'attaque sur un agent russe

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Londres : un policier britannique contaminé par l'attaque sur un agent russe
Londres : un policier britannique contaminé par l'attaque sur un agent russe Londres : un policier britannique contaminé par l'attaque sur un agent russe (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Les dirigeants britanniques ont violemment réagi après la contamination d'un agent, puis d'un policier, à Londres, le 4 mars dernier. Ils soupçonnent la Russie d'avoir commandité l'attaque.

Alors qu'un agent russe qui travaillait pour le Royaume-Uni a récemment été empoissonné en Angleterre, l'un des policiers venus à son secours a été également touché. Sur place, Loïc de la Mornais fait le point. Il explique : "A l'origine, dimanche dernier, trois policiers britanniques se sont rendus sur les lieux pour porter secours à l'homme et la femme retrouvée inconscients sur un banc. On savait que ces trois policiers britanniques avaient été légèrement contaminés, mais ce mercredi 7 mars, Scotland Yard a annoncé que l'un des trois policiers était tombé très malade, il est à l'hôpital, mais dans une situation critique, ses jours sont en danger. On ne sait pas ce qu'il s'est passé, s'il a contracté cet agent innervant par contact avec la peau, par exemple..."

Une crise diplomatique ?

Cela va nécessairement faire monter d'un cran la crise diplomatique entre la Russie et le Royaume-Uni. Le journaliste ajoute : "Officiellement, le gouvernement britannique attend confirmation que la Russie est impliquée. Mais pour les autorités britanniques, ce la ne fait aucun doute. Boris Johnson, ministre des Affaires étrangères, à qualifié la Russie de 'force nuisible' et l'a menacée de représailles à travers des sanctions financières à l'égard de proches de Vladimir Poutine ou en boycottant le mondial de football organisé en Russie en juin prochain." 




Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.