Guerre entre le Hamas et Israël : "J’ai un peu la nausée entre le soulagement (…) et l’attente", réagit la fondatrice du collectif 7 octobre après la libération d’otages israéliens
Après la libération de 13 otages israéliens vendredi 24 novembre, et d’autres ce samedi, quel sentiment anime Aurélie Assouline, fondatrice du collectif 7 octobre ? "À titre personnel, j’ai un peu la nausée entre le soulagement de ces femmes et ces enfants qui sont libérés, l’attente de ceux qui vont arriver dans les prochains jours (…) et toutes ces personnes qui vont rester… Combien de temps ça va durer, et combien on va prendre pour pouvoir enfin faire le deuil de ces plus de 1 400 personnes qui ont été tuées le 7 octobre ?", commente-t-elle.
La prise d’otage "interdite par le droit international humanitaire"
Emmanuel Macron a rappelé la détermination de la France à libérer les huit otages français. "Je suis inquiète pour tous les otages, peu importe la nationalité", réagit Aurélie Assouline, avant de rappeler que "la prise d’otage est interdite par le droit international humanitaire". "Évidemment que nous voulons récupérer nos compatriotes, mais nous voulons récupérer toute l’humanité aussi", ajoute Aurélie Assouline.
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