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Guerre entre le Hamas et Israël : Ce conflit a besoin "d’une solution politique et non militaire", estime Brahim Oumansour, chercheur associé et directeur de l’Observatoire du Maghreb à l’IRIS

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Le 19/20 info reçoit Brahim Oumansour, chercheur associé et directeur de l’Observatoire du Maghreb à l’IRIS, qui revient sur les deux jours de visite du président Emmanuel Macron au Proche-Orient.
Guerre entre le Hamas et Israël : Ce conflit a besoin "d’une solution politique et non militaire", estime Brahim Oumansour, chercheur associé et directeur de l’Observatoire du Maghreb à l’IRIS Le 19/20 info reçoit Brahim Oumansour, chercheur associé et directeur de l’Observatoire du Maghreb à l’IRIS, qui revient sur les deux jours de visite du président Emmanuel Macron au Proche-Orient. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - M. Vigreux
France Télévisions
Le 19/20 info reçoit Brahim Oumansour, chercheur associé et directeur de l’Observatoire du Maghreb à l’IRIS, qui revient sur les deux jours de visite du président Emmanuel Macron au Proche-Orient.

Emmanuel Macron rentre en France ce mercredi soir 25 octobre, après deux jours de visite présidentielle au Proche-Orient. Peut-on déjà dire que c’est une opération réussie ou non pour le président de la République ? "Sur le plan diplomatique, il a tenté de jouer l’équilibre régional, en allant d’abord visiter Israël, pour présenter sa solidarité, et rencontrer deux autres chefs d’État en Jordanie et en Égypte. Pour le moment, c’est une réussite, au moins sur le plan symbolique", indique Brahim Oumansour, chercheur associé et directeur de l’Observatoire du Maghreb à l’IRIS.  

Rappel à la communauté internationale  

Emmanuel Macron l’a redit au Caire, "ce n’est pas parce que cette idée d’une solution à deux États est vieille, qu’elle est devenue caduque". "Son discours est intéressant, dans la mesure où avant le 7 octobre, tout le monde ou presque croyait que la question palestinienne allait être balayée définitivement. Malheureusement, c’est à partir de l’attaque du Hamas qu’on comprend que finalement ça rappelle à la communauté internationale que le conflit existe", déclare Brahim Ooumansour, ajoutant que ce conflit a besoin "d’une solution politique et non militaire".  

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