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LA PHOTO. Feu d'artifice à Pyongyang pour célébrer le tir d'une fusée

Coutumière des feux d’artifice gigantesques, la capitale nord-coréenne s’est une nouvelle fois illuminée au lendemain du lancement, le 7 février 2016, d’une fusée à longue portée présentée par Pyongyang comme une mission spatiale. Mais l’ONU a «fermement condamné» ce tir «utilisant la technologie des missiles balistiques» et s’est engagée à alourdir ses sanctions sur l'allié de la Chine.
Article rédigé par Dominique Cettour-Rose
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
 

Les habitants de Pyongyang assistent, le 8 février 2016, à un feu d'artifice La veille, peu après le tir nord-coréen, les responsables militaires américains et sud-coréens ont annoncé l'ouverture de discussions officielles sur la mise en place du système dit THAAD (Terminal High Altitude Area Defense), bouclier antimissile parmi les plus sophistiqués du monde. Ce système est perçu par Pékin, principal protecteur de Pyongyang, comme une menace pour sa propre politique de dissuasion nucléaire car il pourrait servir à surveiller les tirs de missile chinois aussi loin que Xian, dans le nord-ouest, a fait valoir une porte-parole. Washington comme Séoul font pression sur la Chine pour qu'elle adopte une attitude plus ferme face au programme nucléaire d'armement nord-coréen. 

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