Chaque cas est aujourd'hui examiné. Ils sont en situation illégale au regard de la loi.
Bonsoir Arnaud Comte. Vous êtes devant le ministère de la Justice. A-t-on une idée du nombre de détenus qui pourraient être libérés.
Arnaud Comte : Une vingtaine, une trentaine dans ce cas-là, mais le chiffre reste à confirmer, car les 2/3 des 3.500 dossiers suspects restent à vérifier. Les délinquants concernés sont essentiellement condamnés à des petites peines pour des délits comme des vols et des violences. Dans ces cas, l'Etat n'a aucun recours. Ces délinquants sont libérales sans conditions. Mais cette liste ne devrait pas s'allonger car toutes les peines prononcées après mars 2012 ne sont pas concernées.
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