Cet article date de plus de sept ans.

Vidéo "13h15". Quand Florian Philippot et Jean-Luc Mélenchon ont parlé de Jean-Pierre Chevènement dans le RER...

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
VIDEO. "13h15". Quand Florian Philippot et Jean-Luc Mélenchon ont parlé de Jean-Pierre Chevènement dans le RER...
VIDEO. "13h15". Quand Florian Philippot et Jean-Luc Mélenchon ont parlé de Jean-Pierre Chevènement dans le RER... VIDEO. "13h15". Quand Florian Philippot et Jean-Luc Mélenchon ont parlé de Jean-Pierre Chevènement dans le RER...
Article rédigé par France 2
France Télévisions
France 2

Florian Philippot a rencontré Jean-Luc Mélenchon dans le RER B quelques mois avant le référendum sur le traité établissant une constitution pour l’Europe. Et ils ont parlé de Jean-Pierre Chevènement, pour qui l'actuel vice-président du Front national a voté en 2002… Extrait de "13h15 le dimanche" du 29 janvier.

Au cours de l’entretien-portrait que lui a consacré le magazine "13h15 le dimanche", Florian Philippot se souvient de sa rencontre avec Jean-Luc Mélenchon en février 2005, quelques mois avant le référendum sur le traité établissant une constitution pour l’Europe…

"J’ai tout un parcours avec Mélenchon dans le RER B. Je suis allé le voir, car je l’avais reconnu. A ce moment-là, le 'non’ était donné perdant. Il était très sympa. Et je lui ai dit que j’avais soutenu Chevènement en 2002…" rapporte le vice-président du Front national.

"Nationaliste ? Non, il est patriote, souverainiste"

"En me répondant, il m’a fait comprendre que nous avions un désaccord assez profond, presque philosophique. Il m’a dit : ’Le problème de Jean-Pierre, c’est qu’il n’est pas de gauche. Il est nationaliste.’ Et il y a deux choses qui me dérangent dans cette réponse", affirme le député européen.

"Je me moque de savoir s’il est de gauche ou de droite. Ce n’est pas l’enjeu. Et nationaliste ? Non, il est patriote, souverainiste. Nationaliste, ça veut dire qu’il veut envoyer des chars sur Berlin. Cela n’a aucun sens. Aux yeux de Jean-Luc Mélenchon, le fait même d’être patriote, c’était être nationaliste. Un peu belliqueux, un peu guerrier... Je me suis dit qu’on avait un vrai désaccord de fond", analyse Florian Philippot.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.