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Attentat dans les Yvelines : une affaire née sur les réseaux sociaux

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Attentat dans les Yvelines : une affaire née sur les réseaux sociaux
Attentat dans les Yvelines : une affaire née sur les réseaux sociaux Attentat dans les Yvelines : une affaire née sur les réseaux sociaux (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2 - Laurent Delahousse
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Au lendemain de l'assassinat d'un professeur à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) perpétré vendredi 16 octobre, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a réagi sur le plateau du 20 Heures. Il a notamment parlé de la problématique de l'anonymat sur les réseaux sociaux.

Le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, était invité sur le plateau du 20 Heures, samedi 17 octobre, pour réagir à l'attaque perpétrée à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) vendredi 16 octobre et qui a ciblé un professeur d'histoire-géographie. Il a d'abord rappelé qu'il allait participer au rassemblement organisé Place de la République à Paris, dimanche 18 octobre.

"L'anonymat sur Internet permet tout et n'importe quoi"

L'assaillant avait revendiqué son acte sur Twitter avant d'être abattu par les forces de l'ordre. Auparavant, le professeur avait fait l'objet de menaces sur les réseaux sociaux. Jean-Michel Blanquer a tenu à rappeler que "l’anonymat sur Internet permet tout et n’importe quoi, le pire de la nature humaine""En matière de cyberharcèlement, nous réussissons à faire enlever des contenus grâce à nos relations avec les plateformes, mais ça ne va pas assez loin, ajoute-t-il. Les grands opérateurs des réseaux sociaux doivent être beaucoup plus responsabilisés. Nous devons faire évoluer notre droit pour que ce soit possible d’en finir avec ce type de phénomènes."

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