Violences : les organisateurs mis en cause
Après les manifestations du jeudi 28 avril, 124 interpellations ont été effectuées et 24 policiers et gendarmes ont été blessés, dont trois grièvement.
Après les débordements lors des manifestations contre la loi Travail jeudi 28 avril, l'exécutif met en cause les organisateurs. Dès les premières minutes de la manifestation, ils sont quelques dizaines d'hommes cagoulés ou masqués répartis un peu partout dans le cortège. Certains s'en prennent gratuitement aux pancartes des manifestants, avant d'allumer les fumigènes et d'en découdre avec les forces de l'ordre.
Le 1er mai se profile
À Paris, un policier a été grièvement blessé et souffre d'une fracture du crâne. Pointés du doigt par le Premier ministre, les syndicats à l'origine de la manifestation se défendent. L'Unef, le principal syndicat étudiant condamne les violences mais parle d'actions policières disproportionnées. Dès dimanche, c'est un nouveau test pour les autorités qui devront faire face au traditionnel défilé du 1er mai.
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