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Procès de Rédoine Faïd : "Il est peu probable qu’on apprenne beaucoup de choses", explique Plana Radenovic

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Le 19/20 info reçoit Plana Radenovic, qui vient parler de l’ouverture du procès de Rédoine Faïd pour sa deuxième tentative d’évasion, mardi 5 septembre. La journaliste, qui est l'une des rares à l'avoir rencontré depuis qu'il est en prison, a écrit "Depuis l’enfer gris : Lettres de Rédoine Faïd à Plana Radenovic".
Procès de Redoine Faïd : “il est peu probable qu’on apprenne beaucoup de choses”, explique Plana Radenovic Le 19/20 info reçoit Plana Radenovic, qui vient parler de l’ouverture du procès de Rédoine Faïd pour sa deuxième tentative d’évasion, mardi 5 septembre. La journaliste, qui est l'une des rares à l'avoir rencontré depuis qu'il est en prison, a écrit "Depuis l’enfer gris : Lettres de Rédoine Faïd à Plana Radenovic". (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S.Chironi
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Le 19/20 info reçoit Plana Radenovic, qui vient parler de l’ouverture du procès de Rédoine Faïd pour sa deuxième tentative d’évasion, mardi 5 septembre. La journaliste, qui est l'une des rares à l'avoir rencontré depuis qu'il est en prison, a écrit "Depuis l’enfer gris : Lettres de Rédoine Faïd à Plana Radenovic".

Plana Radenovic est l’une des rares journalistes à avoir rencontré Rédoine Faïd depuis qu’il est en prison. "Pour moi, comme pour d’autres observateurs, c’est le procès de ses conditions de détention. Il est peu probable qu’on apprenne beaucoup de choses sur les arcanes de cette évasion spectaculaire pour plein de raisons", précise la journaliste et autrice de Depuis l’enfer gris : Lettres de Rédoine Faïd à Plana Radenovic, invitée sur le plateau du 19/20 info à l'occasion de l'ouverture de son procès, mardi 5 septembre. "J’étais journaliste au JDD jusqu’il y a peu, (…) j’avais voulu évoquer ses conditions de détention. Qui de mieux que lui" pour en parler, poursuit-elle.

Comprendre ses conditions de détention

"J’ai fait son interview, et ensuite, c’est lui qui m’a écrit la première lettre où il évoquait l’interview et les conséquences qu'elle n’avait pas eue sur ses conditions de détention. J'ai remarqué que dans sa première lettre, il s’exprimait bien, (…) donc je lui ai proposé de continuer et de poser des questions sur comment il vivait à l’intérieur de 9m2", avance Plana Radenovic. "Par rapport à nos trois ans d’échanges, je pense qu’il a voulu croire qu’une nouvelle vie était possible", explique la journaliste, évoquant sa tournée des plateaux où il se repentait.

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