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Vidéo "On aurait dit qu'il en voulait à la Terre entière", dit une ancienne voisine de Nordahl Lelandais

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Durée de la vidéo : 2 min
"19h le dimanche". VIDEO. "On aurait dit qu'il en voulait à la Terre entière", dit une ancienne voisine de Nordahl Lelandais
"19h le dimanche". VIDEO. "On aurait dit qu'il en voulait à la Terre entière", dit une ancienne voisine de Nordahl Lelandais "19h le dimanche". VIDEO. "On aurait dit qu'il en voulait à la Terre entière", dit une ancienne voisine de Nordahl Lelandais
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Nordahl Lelandais est le principal suspect dans la disparition de la petite Maëlys, en août 2017. "C’était quelqu’un qui n’était pas très sympathique. Il ne disait jamais bonjour à personne", affirme une femme qui a été sa voisine à Chambéry. Extrait du magazine "19h le dimanche" du 14 janvier.

Quand Nordahl Lelandais s’installe à Chambéry, au troisième étage d’un immeuble, c’est avec sa petite amie de l’époque. Le principal suspect dans l’affaire de la disparition de la petite Maëlys n’a pas de revenus fixes, alors sa mère paie la moitié de son loyer.

Aujourd’hui, l’évocation de son nom ravive de mauvais souvenirs. "C’était quelqu’un qui n’était pas très sympathique. Il ne disait jamais bonjour à personne. Et surtout, les chiens étaient laissés seuls pendant longtemps", témoigne une voisine qui a conservé l’anonymat.

"Je vais t’exploser la tête !"

"Evidemment, les chiens étaient sur le balcon, poursuit-elle. Les pauvres pouvaient difficilement se retenir, donc, il y avait des déjections qui n’étaient pas enlevées. Et très vite, le propriétaire a reçu des tas de plaintes sur le comportement de ce monsieur. Il ne supportait pas qu’on lui fasse la moindre remarque, par exemple sur les chiens qui souillaient le balcon."

"C’était des menaces tout de suite : 'Je vais te casser la tête ! Je vais t’exploser la tête ! On sentait qu’il avait une hostilité qu’on ne comprenait pas. On aurait dit qu’il en voulait à la Terre entière." Les voisins lancent plusieurs pétitions pour que le maître-chien quitte les lieux, ce qu’il fera deux ans et demi plus tard.

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