Elysée : Valérie Trierweiler hospitalisée
L. Delahousse : Ce matin, c'est le "Journal du Dimanche" qui a tenté de mesurer l'impact de cette affaire sur l'opinion. Pour 77% des Français, il s'agit d'une affaire privée qui ne concerne que François Hollande. A la mi-journée, Ségolène Royal était notre invitée dans le "13h15", elle est revenue sur cette affaire.
La limite, c'est la protection de l'intimité, c'est aussi l'atteinte portée aux proches. Parfois, le voyeurisme fait beaucoup de dégâts sur les enfants. J'ai été victime souvent de harcèlement médiatique, cela faisait beaucoup de mal a mes proches. Je souffrais pour eux, même si je considérais qu'ayant un métier exposé, c'était une contrepartie que je voulais maîtriser le plus possible.
L. Delahousse : Cette affaire n'est donc pas un fait politique.
Il est évident qu'il faut tourner la page et se remettre au travail.
L. Delahousse : Un épisode qui vient troubler un rendez-vous politique important, le président de la République doit dresser dans 48 heures à l'Elysée les futures lignes économiques de son action. On va en parler dans un instant avec vous, François, mais d'abord, que faut-il attendre de cette conférence de presse.
Pour sa troisième conférence de presse, François Hollande a déjà donné une indication, avec sa main tendue aux entreprises.
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