: Vidéo Municipales : Filippetti "n'aime pas l'expression front républicain"
:quality(50)/2014/03/25/000_Par7819144_1.jpg)
:quality(50)/2023/07/05/64a55fd777de4_placeholder-36b69ec8.png)
La ministre de la Culture, candidate à Metz dans une triangulaire serrée avec l'UMP et le FN, préfère parler de "la meilleure stratégie", "pragmatique", pour contrer le Front national.
"Je n'aime pas l'expression front républicain", lâche la ministre de la Culture Aurélie Filippetti. "On n'est pas avec l'UMP", a argumenté la socialiste, mardi 25 mars, sur i-Télé. Elle préfère plaider pour "une stratégie pragmatique" au second tour des élections municipales. Elle y voit "une forme d'alliance objective contre un ennemi", le FN.
> Suivez toute l'actualité des municipales en direct
"Je n'ai pas de leçon à donner à nos candidats"
Et Aurélie Filippetti d'insister : "Il faut adopter la meilleure stratégie pour empêcher que le Front national gère des villes." "Je n'ai pas de leçon à donner à nos candidats", a-t-elle ajouté. La ministre est en effet candidate sur la liste PS à Metz. Elle peut l'emporter au second tour, mais dans une triangulaire avec l'UMP et le FN qui s'annonce serrée.
Pour barrer la route des mairies au FN, le Parti socialiste entend faire bloc avec l'UMP dans un "front républicain" au second tour. Cette stratégie est contestée par l'UMP qui lui ne prend parti ni pour le Front national, ni pour le PS. Cela dit, les consignes de Solférino semblent contestées sur le terrain par la base du parti.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.