Européennes 2024 : les petits partis en recherche de visibilité

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Avec peu de moyens, les petits partis candidats aux élections européennes souhaitent se faire entendre. Lundi 3 juin, ils se sont réunis pour demander à être plus visibles.
Européennes 2024 : les petits partis en recherche de visibilité Avec peu de moyens, les petits partis candidats aux élections européennes souhaitent se faire entendre. Lundi 3 juin, ils se sont réunis pour demander à être plus visibles. (France 2)
Article rédigé par France 2 - A. Peyrout, S. Sotani, H. Babay, M. Felix, M. Renier, D. Bonnet, G. Gheorghita, R. Gardeux, C. Beaume, C. Beauvalet,
France Télévisions
France 2
Avec peu de moyens, les petits partis candidats aux élections européennes souhaitent se faire entendre. Lundi 3 juin, ils se sont réunis pour demander à être plus visibles.

Pour les élections européennes, les petits partis doivent souvent se débrouiller. Ainsi, le NPA Révolutionnaire organise une réunion à la Bourse du travail, lundi 3 juin, car la location est gratuite. Le mouvement a lancé un appel aux dons pour le reste des dépenses. "Il a fallu organiser un certain nombre de cotisations extraordinaires", explique Gaël Quirante, candidat du NPA Révolutionnaire aux européennes. Les affiches sont un autre moyen de se faire remarquer, mais les coller demande de l'argent.

Pas assez d'argent pour faire imprimer des bulletins partout

La liste PACE utilise l'eau des fontaines publiques pour faire sa colle et mise sur une campagne en ligne. "Les réseaux sociaux aujourd'hui, c'est hyper important pour nous comme vecteur", affirme Élise Botiveau, candidate de la liste PACE aux européennes. Lundi, ces petits partis se sont réunis pour demander à être plus visibles. Le Parti Pirate n'a pas assez d'argent pour faire imprimer des bulletins dans tous les bureaux de vote. Caroline Zorn, tête de liste du Parti Pirate aux européennes, demande l'instauration d'un bulletin unique.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.