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Vidéo "Gilets jaunes" : Edouard Philippe se dit "choqué" par des tags sur l'Arc de triomphe et dénonce "une violence rarement atteinte"

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 2 min
"Gilets jaunes" : Edouard Philippe se dit "choqué" que l'Arc de triomphe "ait été tagué" par des manifestants
"Gilets jaunes" : Edouard Philippe se dit "choqué" que l'Arc de triomphe "ait été tagué" par des manifestants "Gilets jaunes" : Edouard Philippe se dit "choqué" que l'Arc de triomphe "ait été tagué" par des manifestants
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Le Premier ministre s'est exprimé à la mi-journée depuis la préfecture de police de Paris.

Alors que les affrontements se poursuivaient sur le lieu de rassemblement des "gilets jaunes", à proximité des Champs-Elysées à Paris, le Premier ministre a dénoncé la "grande violence" de certains manifestants. Dans une intervention depuis la préfecture de police, Edouard Philippe s'est également dit "choqué" de certaines images vues sur la place de l'Etoile.

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"Au risque de paraître vieux jeu, je veux dire combien j'ai été choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France, a-t-il affirmé. Par le fait que l'Arc de triomphe ait été tagué. Le fait qu'autour de la tombe du soldat inconnu une manifestation violente puisse avoir lieu." 

Les affrontements entre certains manifestants et les forces de l'ordre se sont effectivement concentrés autour de l'Arc de triomphe, à proximité du barrage installé pour procéder à des contrôles de police sur les personnes souhaitant se rendre sur les Champs-Elysées. Des images ont montré des tags sur le monument.

Des manifestants du mouvement des "gilets jaunes" font face aux forces de l'ordre devant une inscription taguée sur l'Arc de triomphe, le 1er décembre 2018. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)

Les forces de l'ordre "ont fait l'objet d'attaques qu'elles ont qualifiées elles-mêmes d'une violence rarement atteinte", a affirmé Edouard Philippe, de la part "d'individus équipés, déterminés à tester le dispositif et provoquer les forces de l'ordre".

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