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Vidéo Dans les airs avec un cordiste, au sommet de la tour Défense 2000

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Descendre en rappel le long des gratte-ciel pour laver les vitres, c'est le métier de Louis. Il est cordiste. Brut l'a suivi au sommet de la tour Défense 2000.
VIDEO. Dans les airs avec un cordiste, au sommet de la tour Défense 2000 Descendre en rappel le long des gratte-ciel pour laver les vitres, c'est le métier de Louis. Il est cordiste. Brut l'a suivi au sommet de la tour Défense 2000. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Descendre en rappel le long des gratte-ciel pour laver les vitres, c'est le métier de Louis. Il est cordiste. Brut l'a suivi au sommet de la tour Défense 2000.

Brut a suivi Louis, cordiste, sur le toit de la plus haute tour d'habitation de France : la tour Défense 2000 qui mesure pas moins de 137 mètres, soit l'équivalent de 48 étages. Comme à son habitude, Louis va s'atteler au nettoyage d'une face de la tour, une mission qui lui prend environ 2 heures 30. Côté danger, il se veut rassurant : "C'est deux tonnes ce que peut porter la corde. Après, c'est vrai qu'avec les frottements et tout ça ; c'est là où c'est dangereux. Mais sinon, c'est hyper solide. En vrai, c'est un métier. On n’a pas la prime de risque parce que c'est vraiment très sécurisé. Et, il faut avoir un plan de prévention pour justifier que c'est la meilleure forme de travail parce que sinon on privilégie l'échafaudage ou la nacelle", explique-t-il.

Un métier de choix

Louis n'a pas peur du vide et adore l'adrénaline. Avant de faire ce métier, il faisait un peu d'escalade et de la montagne. "Je fais les vitres parce que c'était le métier où tu peux trouver plus de hauteur verticale. Et j'aime bien voir ça, voir le vide, être là en corde suspendu en plus avec la vitre, c'est un peu comme une méditation, la répétition du mouvement", sourit-il.

En moyenne, un cordiste touche 2500 euros nets par mois.

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