Pas d'activité de plein-air dans un centre de loisirs de Vendargues, dans l'Hérault. "Notre priorité, c'est la sécurité physique, affective et morale de l'enfant et mettre 80 enfants à courir dans tous les sens alors que le personnel n'y est pas, c'est hors de question", explique Marine Lavis, directrice du centre de loisirs ALSH à Verdangues. À l'origine du problème : la crise sanitaire.Une formation dès le lycée à NancyDe nombreuses formations ont été annulées l'année dernière. Le métier souffre aussi d'un manque d'attractivité à cause de contrats courts et d'une faible rémunération. "Je suis payé entre cinq et six euros de l'heure et ce n'est pas très valorisant lorsque l'on voit l'énergie que l'on donne", raconte Thomas Sers, animateur. À Nancy, en Meurthe-et-Moselle, une association a peut-être trouvé la solution : former les jeunes dès le lycée.