Colère des agriculteurs : "De nombreux agriculteurs" se rendent à Paris pour "venir à la rencontre" des parlementaires, indique la présidente de la Coordination rurale

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 4min
Colère des agriculteurs : "De nombreux agriculteurs" se rendent à Paris pour "venir à la rencontre" des parlementaires, indique la présidente de la Coordination rurale
Colère des agriculteurs : "De nombreux agriculteurs" se rendent vers Paris pour "venir à la rencontre" des parlementaires, indique la présidente de la Coordination rurale Colère des agriculteurs : "De nombreux agriculteurs" se rendent à Paris pour "venir à la rencontre" des parlementaires, indique la présidente de la Coordination rurale (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Tran Nguyen, N.Saint-Cricq
France Télévisions
franceinfo
Invitée du 12/13 info, jeudi 1er février, Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale, revient notamment sur sa proposition aux agriculteurs de se déplacer à l'Assemblée nationale afin que les députés "puissent venir à leur rencontre".

Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale, est l'invitée du 12/13 info, jeudi 1er février. Elle a proposé, dans la matinée sur BFMTV, aux agriculteurs "qui souhaitent monter sur Paris" de "venir à l'Assemblée nationale" pour que les députés "puissent venir à leur rencontre". "Cette décision d'aller vers les députés, c'est bien en parallèle aux annonces qui doivent être faites par Gabriel Attal très vite, pour avoir la certitude d'avoir des députés qui soient raccord avec ce qui va être annoncé", indique-t-elle, quelques minutes avant la conférence de presse du Premier ministre.

"Pour moi, il fallait une intersyndicale"

"Il y a de nombreux agriculteurs qui sont en train de se rendre vers Paris, pour venir à la rencontre de tous ces parlementaires. Les sénateurs aussi m'appellent pour venir à notre rencontre", affirme la présidente de la Coordination rurale. Interrogée sur le fait qu'il n'y ait pas une union entre tous les syndicats agricoles dans le mouvement, Véronique Le Floc'h indique : "Le front uni, je l'ai demandé dès le premier jour. Pour moi, il fallait une intersyndicale, que chacun mette ses revendications sur la table et qu'on y travaille."

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.