Départ en vacances : journée noire sur les routes
Des premières difficultés rencontrées autour de Lyon, en direction de la Méditerranée.
On prend son mal en patience. C'est les vacances. On fait avec.
On cherche à se dégager des bouchons. On va essayer de prendre la nationale.
Mais la galère ne fait que commencer. A 10h, il y a déjà 2 fois plus de bouchons. Souvent, il y a un facteur aggravant comme près de Montpellier: la pluie. Moins de visibilité, c'est plus de ralentissement. Les automobilistes n'ont encore rien vu. Des milliers de véhicules sont à l'arrêt, avant comme après les barrières de péage.
Il y a longtemps qu'on aurait dû arriver. On nous attendait pour 10h.
Le compteur continue de tourner. Il y a toujours plus d'embouteillages. Le pic est atteint à 12h25. C'est un record historique.
On se raconte ÎOUÎG la semaine. Ça ne sert à rien. On va prendre un café.
Garder le sourire, c'est également vrai pour ces voyageurs bloqués près de Bordeaux. Ils sont partis de Normandie ce matin.
Au bout de 3 heures, ça commence à crier dans la voiture. Il faut s'arrêter.
On a pris les bouchons et la pluie. Là, il y a le soleil et les tongues. Là, on est en vacances.
Moins de pluie mais à 15h, il reste encore 600 km de bouchons. C'est l'heure à laquelle les moteurs fatiguent.
J'ai une petite fuite de liquide.
Une fuite à réparer avant de reprendre la route. Il faut attendre la fin d'après-midi pour que la situation s'améliore. Ce soir, il ne reste qu'une centaine de kilomètres de bouchons.
J.Bugier: Et ce soir, ça va nettement mieux. Bonsoir, vous êtes sur l'A7. Ça n'est pas tout à fait le retour à la normale mais c'est quand même plus fluide? Je suis sur l'A63.
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