Colonies de vacances : tradition et modernité

De retour au camp, c'est l'heure de la veillée après manger. Un grand jeu questions-réponses pour faire connaissance.

Comment y s'appelle ton amoureux ? Rires.

22H, extinction des feux.

Tout le monde a été aux toilettes.

Ca, c'est fait.

Premier réveil.

Vous avez bien dormi les filles.

Oui, il faisait un peu froid la nuit.

D'habitude, maman me réveille.

Et ce matin, elle n'est pas là.

Non, mais le rythme va se prendre. Le premier matin, c'est dur.

Chez les garçons, le problème, ce sont les lève-tôt. Ils ouvrent grand la tente aux aurores.

Ça fait de la lumière et du bruit donc ça nous a réveillés.

C'est ça qui est difficile dans la vie en collectivité.

Il faut bien le faire, dans la vie il faut vivre avec les autres.

Pour créer des liens, un jeu de groupe en plein air.

On va commencer par une passe a 10 puis on fera un lancer d'oeufs, on fera une course au t-shirt mouillé.

Non, moi je ne mouille pas mon t-shirt.

Oublies les parents, personne n'a pense à les appeler. Ce qu'ils attendent, c'est leur séance quotidienne de surf.

Venez voir par ici, je vais vous faire une démonstration. Je suis allongé sur ma planche et quand je veux me redresser, il faut que je me redresse sur la ligne. Si je mets un pied à côte, je vais tomber. Genoux, pied, c'est pas mal.

Après quelques conseils, la pratique.

Debout, elle est belle.

Certains sont plus habiles que d'autres.

C'est dur ou pas.

C'est pas très dur mais ça va d'une rapidité.

Victor et ses camarades ont encore 6 jours pour profiter de tous les autres plaisirs des jolies colonies de vacances.

Mondiaux d'athlétisme à Moscou et la 1/2 finale du 200 m, c'est fini pour le Français Jimmy Vicaut, dernier représentant du sprint français encore en lice. Il est arrivé 4e et ne s'est pas qualifié pour la finale. Le Jamaïcain Usain Bolt, déjà 2 fois champion du monde sur la distance, s'est qualifié sans aucune difficulté. Finale à suivre demain à 18H sur France 2.

Cinéma, avec la sortie en salles de "Jobs", consacré à Steve Jobs, le fondateur d'AppIe. Le film retrace le parcours hors normes de ce visionnaire qui a révolutionné notre quotidien.

Steve, il faut du cran pour abandonner ses études.

Raconter en 2H l'un des parcours les plus incroyables d'aujourd'hui. Comment Steve Jobs, co-fondateur d'AppIe, a révolutionne nos vies en développant l'ordinateur personnel.

Un terminal d'ordinateur que j'ai relie a une TV pour l'affichage.

C'est l'un de ses amis qui en avait eu l'idée.

Steve Jobs a su comment transformer une idée en business. Il a eu le génie de se mettre dans l'esprit du consommateur éventuel, et il voulait créer des choses aussi simples que belles.

Bienvenue chez Apple Computer.

Toute la société est là.

Le film raconte comment, depuis l'époque de son garage.

Il me faut une alimentation qui ne chauffe pas. Dans le boîtier.

C'est impossible ! . Comment ce visionnaire est devenu le patron d'une multinationale, un patron parfois tyrannique.

La typo, c'est pas urgent.

Tire-toi.

Ce sont ses défauts qui ont fait de lui un artiste brillant. Il disait :je ne suis pas la pour être sympa avec vous mais pour vous rendre meilleurs.

Ashton Kutcher l'incarne dans tous les moments de sa vie, jusqu'à l'une de ses dernières apparitions : malade, il dévoilait ses dernières trouvailles. Steve Jobs est mort d'un cancer du pancréas en octobre 2011, à l'âge de 56 ans, après avoir accompli une révolution.

Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent.

Le film livre un portrait sans concessions d'un homme hors du commun.

C'est la fin de ce journal. Merci de l'avoir suivi. Tout de suite, la météo avec Isabelle Martinet, suivie de votre série "Fais pas-ci, fais pas-ça". Je vous donne rendez-vous demain à 13H et à 20H. Sous-titrage : K. Lempereur, H. Michelini, A. Bauchet, F. Blanc, I. Malin, C. Lambert et O. Dasse-Hartaut.