Au salon de l'orientation : interrogations en nombre

Beaucoup de curiosité et parfois de l'angoisse, la peur de faire le mauvais choix.

Si je choisis mal ma fac, j'ai peur de rater ma vie.

Il ne faut pas se tromper, savoir où l'on va et être sûr.

On a beaucoup de choix donc c'est bien mais c'est difficile.

Un foisonnement de filière, une jungle de formations. Pour s'y retrouver, les parents sont venus à la rescousse avec des questions concrètes.

Est-ce que vous avez des idées des taux de réussite.

En communication, c'est de l'ordre de 60 %.

Des parents qui prennent d'assaut les consultations des conseillers d'orientation. Besoin de se rassurer.

Si c'est la leçon d'aujourd'hui, on a avancé déjà. stressant, angoissant, c'est notre enfant. C'est des questions que l'on se pose. On vient chercher des infos. On va réfléchir à la maison.

Je pense qu'ils sont inquiets qu'ils trouvent la bonne formation. Notre rôle c'est de les rassurer et de leur montrer que rien n'est définitif.

Dans les allées du salon, on croise de très jeunes gens. Ceux là sont en 3e et 4e mais leur père estime qu'on ne s'y prend jamais assez tôt. Leur mission collecter des informations sur les filières d'étude science de la vie.

Après il faudra creuser pour avoir une idée et ne pas arriver en terminale et pas avoir d'idée.

Les élèves de terminale disposent de quelques jours avant de commencer à enregistrer leurs choix sur internet.

Autre question du moment, celle des soldes. L'heure des bonnes affaires a sonné 75 % entendent bien en profiter. Et le bras de fer semble engagé entre les magasins classiques et les sites Internet où l'on joue gros au cours de ce mois de janvier.