Surveillance illégale : les sanctions tombent chez Ikéa
La branche française du groupe suédois d'ameublement annonce aujourd'hui le départ de quatre de ses dirigeants, mis en cause dans l'affaire de surveillance illégale de certains clients et salariés de l'enseigne.
Il s'agit d'un ancien directeur général, d'une ancienne directrice des ressources humaines, d'un ancien directeur financier et de l'actuel reposnsable de la gestion du risque. Ils "vont quitter leurs fonctions et le groupe", précise le communiqué d'Ikéa, qui évoque "des comportements contraires à l'éthique".
Les trois premiers avaient été mis en disponibilité à la suite de cette affaire.
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