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Droit à l'avortement : il faut "inscrire l'avortement comme un droit fondamental" dans la Constitution, estime Suzy Rojtman, porte-parole du collectif avortement en Europe

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En ce jeudi 28 septembre, Journée mondiale pour le droit à l'IVG, les défenseurs de droits de femmes rappellent que rien n'est jamais acquis et réclament l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution. En direct de la place de la République, à Paris, des manifestants sont mobilisés pour cette cause.
Droit à l'avortement : il faut "inscrire l'avortement comme un droit fondamental" dans la Constitution, estime Suzy Rojtman, porte-parole du collectif avortement en Europe En ce jeudi 28 septembre, Journée mondiale pour le droit à l'IVG, les défenseurs de droits de femmes rappellent que rien n'est jamais acquis et réclament l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution. En direct de la place de la République, à Paris, des manifestants sont mobilisés pour cette cause. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - M. Khiat
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En ce jeudi 28 septembre, Journée mondiale pour le droit à l'IVG, les défenseurs de droits de femmes rappellent que rien n'est jamais acquis et réclament l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution. En direct de la place de la République, à Paris, des manifestants sont mobilisés pour cette cause.

En cette soirée du jeudi 28 septembre, plus d'un millier de manifestants se sont réunis place de la République, à Paris, pour défendre le droit à l'avortement. C'est notamment le cas de Suzy Rojtman, porte-parole du collectif avortement en Europe et l'une des organisatrices de l'événement.  

"Protéger l'avortement" 

Selon elle, l'inscription de l'IVG dans la Constitution "inscrirait l'avortement comme un droit fondamental. La Constitution, c'est le texte des valeurs de la République, des choses qui sont normalement inaliénables, qui fondent la République. Et inscrire l'avortement dans la Constitution viserait vraiment à protéger l'avortement", affirme Suzy Rojtman. Aujourd'hui, en France, le droit à l'IVG "n'est pas menacé frontalement. Mais il y a beaucoup de choses qui nous inquiète", poursuit-elle en soulignant notamment la présence "encore" d'opposants à l'avortement, notamment à Paris ou à Lyon (Rhône).  

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