À l'instar du Rhône et de l'Aube, la Nièvre passera, dès vendredi 26 mars à minuit, sous des mesures de restrictions renforcées. La situation épidémique est particulièrement inquiétante dans ce département, comme le reconnaît Denis Thuriot. "Notre taux de contamination augmentation très vite", reconnaît le maire (LREM) de Nevers, invité du 23h de franceinfo vendredi soir.Une hausse "assez incompréhensible""Cette hausse subite est assez incompréhensible", ajoute-t-il, précisant que le département de la Nièvre n'est pas, au contraire d'autres territoires durement touchés, très densément peuplé. S'il dit comprendre le désappointement de ses concitoyens par rapport à ces nouvelles mesures restrictives, l'édile insiste sur le fait que "c'est plus une protection qu'une punition. Et cela doit durer encore un peu, le temps que l'on hausse le rythme de la vaccination."