Cet article date de plus de trois ans.

Variant Delta : le port du masque fait son retour dans les Pyrénées-Orientales

Publié
Durée de la vidéo : 1 min
Variant Delta : le port du masque fait son retour dans les Pyrénées-Orientales
Variant Delta : le port du masque fait son retour dans les Pyrénées-Orientales Variant Delta : le port du masque fait son retour dans les Pyrénées-Orientales (France 2)
Article rédigé par France 2 - A.Lay, S.Dauba, P.Jouffriault, D.Mascret
France Télévisions
France 2

Le port du masque sera dès le samedi 17 juillet de nouveau obligatoire en extérieur dans les Pyrénées-Orientales. Les plages et les espaces naturels ne sont pas concernés par cette restriction, prise pour contrer la progression du variant Delta.

Sur la plage d'Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), il fait bon être en vacances. Mais ici, comme dans l'ensemble des communes des Pyrénées-Orientales, le port du masque sera à compter du samedi 17 juillet obligatoire, en extérieur à l'exception des plages, une bonne nouvelle pour les touristes. Dans le département, le taux d'incidence atteint 210 cas pour 100 000 habitants.

Le maire d'Argelès relativise

Dans les campings de la ville, l'inquiétude se fait aussi sentir. Des touristes viennent du nord de la région parisienne ou des Bouches-du-Rhône. "On a des appels de gens qui sont inquiets pour leurs vacances, ils ne vont pas être confinés dans leurs mobile-homes ! On arrive quand même à leur expliquer comment ça va se passer", devise Daniel Besson, propriétaire du camping Le Méditerranée. Le maire appelle à relativiser dans sa commune. "Les hospitalisations n'augmentent pas, les médecins ne sont pas débordés, la situation est calme, relax" explique Antoine Parra, maire d'Argelès.

L'accélération de la campagne vaccinale doit se poursuivre, pour le journaliste et médecin Damien Mascret. "C'est désormais 85% des gens qui ont eu un test PCR positif qui sont non vaccinés, explique le journaliste. On voit maintenant qu'il y a encore des contaminations possibles avec une seule dose, c'est quand même dommage et, on le sait, 6% des personnes intégralement vaccinées peuvent quand même se faire contaminer."

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.