Mettre ou ne pas mettre le masque, telle est l'épineuse question. Beaucoup ont vite pris le pli depuis que son port n'est plus obligatoire en extérieur : ils se sentent libérés. "On retrouve les visages, les sourires", confie une passante. "J'ai l'impression qu'il manque quelque chose", s'étonne un homme. Tous savourent le bonheur de respirer sans entrave. Mais certains, encore inquiets, préfèrent le conserver, par prudence. "L'épidémie n'est pas terminée, c'est un principe de précaution", argumente une femme. "C'est pour ma précaution personnelle", ajoute un homme. Le masque reste obligatoire dans certains endroits extérieursLe masque reste néanmoins obligatoire dans certains lieux extérieurs, comme sur les marchés. Le message semble néanmoins ne pas être passé... "J'en avais pas connaissance, je pensais qu'il n'y avait pas d'obligation en extérieur", se défend un homme. La confusion peut naître des consignes locales, qui s'ajoutent aux consignes nationales. À Paris, les masques restent obligatoires sur les quais des transports en commun ; même lorsqu'ils sont vides. "Ce n'est pas très clair", lâche un usager perdu.