Restaurants clandestins : le président de la branche restauration de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie se dit "dépité" et "choqué"
Hubert Jan, président de la branche restauration de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (UMIH), estime que l'image des restaurateurs "est dégradée" face à la multiplication des ouvertures clandestines.
Le président de la branche restauration de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (UMIH) se dit "dépité" et "choqué" face à la multiplication d'affaires de restaurants clandestins. Pour Hubert Jan, il est incompréhensible que certains n'aient "pas réfléchis avant d'opérer de cette façon là".
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Selon le ministère de l'Intérieur, 300 contraventions pour ouverture irrégulière ont été dressées contre des établissements, sur un total de 7 345 restaurants contrôlés à Paris depuis le 30 octobre.
"Ça nous nuit parce que notre image est dégradée", regrette le restaurateur installé dans le Finistère, tout en soulignant que ces phénomènes semblent plutôt "exister dans les grandes villes". "Il faut que justice passe et que les contrôles soient fait", estime-t-il.
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