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Claudia Senik : "45 ans, l'age où l'on est le plus malheureux"

Claudia Senik est professeur à l’université Paris-Sorbonne et à l’École d’économie de Paris. Elle est l’une des spécialistes internationales de l’économie du bien-être et de l’économie comportementale. Elle publie "L’Economie du Bonheur" aux éditions Seuil, La Républiques des Idées.
Article rédigé par Olivier de Lagarde
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (© Seuil)

Nos sociétés ont fait du bonheur une idée neuve, un principe constitutionnel, presque un devoir. Le bonheur de l’individu est devenu l’objectif suprême des choix politiques. Mais peut-on mesurer quelque chose d’aussi subjectif et impalpable que le bonheur ?

CLAUDIA SENIK -Pourquoi mesurer le bonheur?

La France, en "déficit de bonheur"

Depuis une trentaine d’années, les économistes ont tenté de relever ce défi. Ils ont fait le pari de mesurer le bonheur tel qu’il est ressenti et déclaré par les individus eux-mêmes. Leur enquête concerne plus particulièrement le rôle de la richesse.

CLAUDIA SENIK- Bonheur et économie

L’argent fait-il le bonheur ? La croissance rend-elle les gens plus heureux ? Dans le cas contraire, faut-il opter pour la décroissance ou, du moins, mesurer le bien-être au-delà du PIB ? Une façon de comprendre pourquoi la France, pays objectivement riche, souffre d’un tel "déficit de bonheur". 

UN MONDE D'IDEES 3 20.11.2014 CLAUDIA SENIK

 

"L'économie du bonheur" de Claudia Sénik, aux éditions Seuil, La République des idées

 

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