Cet article date de plus de deux ans.

Odessa, "une ville joyeuse qui parait repeinte en kaki"

Aujourd'hui, le Quart d'heure vous emmène sur les rives de la mer Noire, à Odessa, station balnéaire très prisée devenue un objectif pour l'armée russe. Vanessa Descouraux, envoyée spéciale de radiofrance, nous raconte la vie qui s'est figée en attendant l'assaut. On vous parle aussi de la marche "Look Up" pour le climat, organisée demain pour imposer le climat dans le débat électoral. Et puis, on part à Saint-Etienne à la rencontre de jeunes d'un quartier populaire qui hésitent à aller voter.

Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
  (NINA LIASHONOK / NURPHOTO)

Voilà deux semaines maintenant que la guerre en Ukraine a commencé. Deux semaines que nous avons nos regards tournés vers l'Est pour suivre l'évolution de la situation à Kiev, Marioupol ou Lviv, des villes dont nous ne savions pas grand chose il y a quelques jours encore. Voilà que c'est au tour d'Odessa d'être menacé par l'avancée des forces russes. Odessa, un nom famillier à nos oreilles. Cette cité industrielle située sur les rives de la mer Noire est une ville chargée d'histoire, un joyau de l'Empire russe, une station balnéaire prisée avec son opéra, ses plages et ses cafés. Vanessa Descouraux, envoyée spéciale de radiofrance sur place avec Marc Garvenès, nous raconte le paradoxe entre l'ancienne et la nouvelle Odessa, où l'ambiance s'est crispée en attendant l'assaut des forces russes.

Comment imposer le climat dans la campagne présidentielle ?

Pendant ce temps là, la campagne électorale se poursuit sur les plateaux... mais est-ce que vous entendez beaucoup parler du climat ? La réponse est non, selon les associations de défense de l'environnement qui organisent demain des marches dans toute la France. Baptisées "Look up", elles s'appuient sur le succès du film de Netflix, "Don't look up" qui racontait l'inaction de l'humanité face à l'arrivée d'une comète sur la Terre. Les associations rivalisent d'imagination pour tenter d'imposer le climat au coeur du débat. Margaux Queffélec s'est rendu au siège du collectif Alternatiba.

Et puis, 60% des jeunes des banlieues populaires ne s'intéressent pas à la campagne électorale. C'est le résultat d'une enquête menée par l'institut IFOP. Manon Mella, qui présente "Génération 2022" nous raconte sa rencontre avec Aïcha, Malik, Slimane et Zaïnoudine, qui habitent le quartier de la Chapelle à Andrézieux-Bouthéon, près de Saint-Etienne.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.