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Marianne Jaeglé : "Vincent qu'on assassine"

Van Gogh ne s'est pas suicidé mais il a été tué, sans doute par accident. À partir de cette révélation incroyable de deux américains récompensés par le prix Pulitzer Gregory White Smith et Steven Naifeh dans leur livre publié par Flammarion, la française Marianne Jaeglé retrace les dernières années du peintre.
Article rédigé par Philippe Vallet
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Résumé : 

Auvers-sur-Oise, juillet 1890. Vincent Van Gogh revient du champ où il est allé peindre, titubant, blessé à mort. Il n’a pas tenté de se suicider, comme on le croit d’ordinaire. On lui a tiré dessus. Inspiré par les conclusions des historiens Steven Naifeh et Gregory White Smith, ce roman retrace dans un style épuré les deux dernières années de la vie du peintre et interroge sa fin tragique. Qui est responsable de sa mort? Pourquoi l’a-t-on tué? Comment la légende du suicide a-t-elle pu perdurer cent vingt années durant? En montrant Vincent Van Gogh aux prises avec son temps, avec ceux qui l’entourent et avec la création, le roman rend justice à un homme d'exception que son époque a condamné à mort.

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