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L'émoi des proches des victimes des attentats de Bruxelles originaires d'outre-mer

Au sommaire de ce journal : L’émoi des familles des victimes des attentats de Bruxelles, à des milliers de kilomètres, outre-mer. Les candidats à la présidentielle déjà en visite outre-mer. Un petit python a créé de grandes frayeurs à la Réunion et les célébrations de Pâques chez les Protestants de Nouvelle-Calédonie.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
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  (Les travaux d'investigation liés à l'enquête judiciaire dans le terminal de l'aéroport sont achevés mais il ne sera pas prêt à accueillir les passagers avant mardi prochain © REUTERS/Geert Vanden Wijngaert)

 

Près du tiers des victimes françaises des attentats de Bruxelles est originaire d’outre-mer : une jeune Réunionnaise brûlée grièvement à un comptoir d’enregistrement de l’aéroport de Zaventem, un Guadeloupéen qui, non loin de là, s’en est sorti avec une blessure à la jambe. Dans le métro, deux Martiniquaises qui se rendaient à leur école d’infirmières, touchées par l’explosion du troisième kamikaze. L’une d’elle a été transférée dans un hôpital parisien, l’autre est plus légèrement blessée. Sa maman qui vit au Saint Esprit, une commune de Martinique, raconte à Cécile Mare comment elle a vécu le drame à 7 000 kilomètres de distance.

 Les candidats à la présidentielle se succèdent déjà outre-mer : Marine Le Pen vient de rentrer de l’archipel de St Pierre et Miquelon où le mauvais temps l’a empêché de se rendre sur l’île de Miquelon – elle y avait recueillie près du quart des voix en 2012. De son côté, Alain Juppé sera dimanche prochain en Guyane avant de poursuivre vers les Antilles. Il s’était rendu à Mayotte et à la Réunion en décembre.

 La Réunion où un python a été aperçu dans le sud cette semaine, alors que les seuls serpents rencontrés habituellement dans l’île sont de tranquilles couleuvres. D’où la frayeur de certains habitants. Reportage Réunion 1ère, Suzette Emma.

 On quitte l’océan indien pour le Pacifique où les protestants de Nouvelle-Calédonie célèbrent les fêtes de Pâques : les habitants de Tibarama se sont retrouvés tous les soirs à la maison commune pour préparer les chants liturgiques, en langues kanaks, mais pas seulement. Le reportage de Marguerite Poigoune, de Nouvelle-Calédonie 1ère.

Jean-Marie Chazeau

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