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Affaire Karachi : "Une polémique politicienne est en train de naître" (Bernard Accoyer)

Les élections sénatoriales ont lieu dimanche. Un peu plus de 71.000 grands électeurs sont appelés aux urnes dans la moitié des départements français. En tout, 170 sièges sont à pourvoir. La gauche a besoin de 23 nouveaux sénateurs pour faire basculer la chambre haute. Un Scrutin test pour Nicolas Sarkozy à sept mois de la présidentielle. Le chef de l'Etat autour duquel l'étau se resserre sur le front des affaires. Après l’affaire Bettencourt et l’affaire des mallettes africaines, le volet financier de l’affaire Karachi a connu hier un coup d’accélérateur. _ Invité de France info ce matin pour réagir, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer.
Article rédigé par Célyne Baÿt-Darcourt
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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La mise en cause de deux proches de Nicolas Sarkozy dans l'affaire de Karachi

"Une polémique politicienne, à quelques mois d'élections essentielles, est en train de naître"

"Il y a aujourd'hui des allégations dont on ne sait pas grand chose"

"La justice étant saisie, laissons-la faire"

"Nous ne devons pas nous détourner de l'essentiel"

  • VOIR AUSSI : Nicolas Sarkozy cerné par les affaires à 7 mois de la présidentielle

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    "Il y aura certainement un gain de siège pour l'opposition au Sénat"

    Le "pronostic personnel" de Bernard Accoyer : pas de changement de majorité au Sénat à l'issue du vote

    "S'il y a une majorité différente au Sénat et à l'Assemblée nationale, c'est l'Assemblée nationale qui a le dernier mot"

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