Cet article date de plus de sept ans.

L'interview éco. Dérives de l'assurance obsèques : "Le problème est bien identifié et va être réglé"

Bernard Spitz, le président de la Fédération française de l’assurance (FFSA), était l'invité de Jean Laymarie sur franceinfo jeudi 13 octobre. Il a répondu à l'enquête de l'association 60 millions de consommateurs sur les dérives de l'assurance obsèques.

Article rédigé par franceinfo, Jean Leymarie
Radio France
Publié
Temps de lecture : 7 min
Bernard Spitz, président de la Fédération française de l’assurance (FFSA), sur franceinfo le 13 octobre 2016 (RADIO FRANCE / CAPTURE D'ÉCRAN)

L'association 60 millions de consommateurs a publié jeudi 13 octobre une enquête mettant en lumière les dérives de l'assurance obsèques. Huit poids lourds du secteur sont pointés du doigt dans un hors-série du magazine de l'association. L'enquête dénonce notamment l'absence de revalorisation des contrats, alors que de nombreux frais sont prélevés par l'assureur. "Ce n'est plus le cas", a répondu jeudi 13 octobre sur franceinfo Bernard Spitz, le président de la Fédération française de l’assurance (FFSA).

"Depuis 2013, une loi oblige à la revalorisation, a-t-il expliqué au micro de Jean Leymarie. Il reste des contrats sur lesquels il faut se pencher. Il y a quatre millions de contrats. Il y a forcément des entreprises qui n'ont pas fait tout ce qu'elles avaient à faire. Le problème est bien identifié et je vous promets qu'il va être réglé."

60 millions de consommateurs épingle également la longue liste de documents nécessaire pour pouvoir espérer récupérer la capital versé. Il faut notamment fournir la facture de l'entreprise de pompes funèbres avant même que les obsèques aient lieu. "Tout cela est réglé par un fichier centralisé qui sera mis en place dès le mois de février. On avait anticipé", a répondu Bernard Spitz.

Visionnez l'intégralité de l'interview de Bernard Spitz au micro de Jean Leymarie


Intempéries : "Il faut apprendre à gérer le... par franceinfo

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.