Le président du Syntec Numérique (1.500 entreprises du secteur, près de 400.000 emplois) redoute les conséquences économiques de la loi. Selon Guy Mamou-Mani, le projet du gouvernement prévoit une surveillance « systématique, massive », des échanges sur internet et va « handicaper » les entreprises : « Les entreprises, se disant ‘nous allons être surveillées, nous allons être contrôlées’ risquent de repousser leurs investissements ».