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L'Opel Karl, une concurrente pour la Twingo

L'Opel Karl ne sortira qu'à la rentrée, mais France Info a pu la tester en avant-première. La petite citadine allemande arrive au milieu de concurrentes déjà bien établies...
Article rédigé par Jean-Rémy Macchia
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (L'Opel Karl, un design pensé pour ne pas déplaire)

 Karl, c'est le prénom d'un des fils du créateur de la marque Opel et c'est le nom de baptême pour cette nouvelle petite voiture concurrente des Renault Twingo, Citroën C1, Peugeot 108, etc.

La Karl, c'est une petite 5 portes, ouvertement économique dotée d'une finition très simple, sans sophistication technique, aucun avant-gardisme. La gamme est réduite à un seul moteur, mais la voiture n'est pas bâclée dans ses prestations – ce qui est plutôt une bonne surprise.

Des qualités routières au niveau

Pour une citadine, la suspension est très souple, agréable, l'insonorisation franchement impressionnante grâce à un moteur parfaitement isolé. On ne ressent pas de vibration ni de bruit de roulement en provenance des pneus.

Le moteur est un 3 cylindres à essence. Sans prétendre à des performances élevées, il est capable de lancer et relancer la voiture convenablement. 

L'un des aspects essentiels pour une auto économique reste le prix. Celui de la Karl de base est fixé à 9.990 euros. Il s'agit là du modèle sans vitres électriques, sans verrouillage central mais avec direction assistée. 

L'équipement progresse sur les modèles plus chers. Chose étonnante, il faut attendre le troisième niveau de gamme (la version Cosmo, 2.200 euros plus cher) pour avoir une homologation en 5 places (avec 3 ceintures à l'arrière). En-dessous, la Karl n'est qu'une 4 places. C'est la première fois qu'un constructeur fait dépendre le nombre de places du niveau d'équipement de la voiture.

Jean-Rémy Macchia a testé l'Opel Karl
 

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