Il y a même une fonction sportplus pour débrancher les aides à la conduite et tourner sur circuit. Oui, lavocation d'un coupé, c'est le plaisir du conducteur, ce n'est pas lafonctionnalité.Demandez un peu aux passagers de la série 4 de faire quelquescentaines de kilomètres à l'arrière, ça ne va pas les enchanter. Non pas qu'ony soit mal assis, les deux places séparées sont bien dessinées et confortables.On y a même une place suffisante pour les jambes, ce qui n'est pas évident danstous les coupés, moins pour la tête, à cause de la ligne de toit très en pente.Mais la constante, c'est qu'il est aussi difficile pour une personne de plusd'un mètre soixante et soixante kilos de s'y glisser et de s'en extirper. Etsurtout, les hauts montants, le dossier avant et les vitres fixes vontdécourager ceux qui sont un temps soit peu sujets à la claustrophobie.Parmi les choses qui fâchent, remarquons l'étroite ouverture de la malle arrière, mais c'est un défautfréquent sur les voitures allemandes. En revanche, pour les objets longs commeles skis, c'est parfait, car la partie centrale des dossiers arrière se rabatseule, si on le désire.Rien à moins de 40.000 € pour accéderà ce coupé BMW, mais avec la 420 d, on a droit à un bonus malus neutre et 184chevaux sous le capot. On frôle les 60.000 € en haut de gamme et on les dépassemême si on prend la catégorie 4 roues motrices, X Drive pour circuler par tousles temps. 2.400 € auxquels il faut ajouter 2.200 € de boite automatique à 8rapports. Rien n'est donné chez BMW.