Dragon Age Inquisition : la belle surprise de l'automne
Il était une fois… Vous. Que vous ayez choisi le costume de guerrier, mage ou voleur, vous commencez l’aventure amnésique, ce qui est scénaristiquement toujours très pratique. Suite à l’apparition dans le ciel de Thédas d’une étrange faille d’où s'échappe une horde de démons assoiffés de destruction, vous êtes accusé d’avoir ouvert la boite de Pandore. Doté d’un étonnant don, capable de les refermer, vous allez passer du statut de coupable idéal à héros de tout un pays rongé par les complots politiques et les haines ancestrales. Bienvenue dans "Dragon Age Inquisition ".
Regroupés sous la bannière de l’Inquisition, vous et vos trois acolytes ont la lourde tâche de former une communauté qui sauvera ce joli monde moyenâgeux des hordes anarchiques de l’ennemi.
Des combats bien sûr, épée à la main, mais aussi un voyage dans une contrée verdoyante, et enfin beaucoup de bla-bla avec les habitants, 80.000 lignes de dialogues ont été créées pour l’occasion. Et vos choix auront des conséquences : "Dragon Age Inquisition " dispose ainsi de plus de 40 fins différentes.
Et vu le nombre de missions, cette exploration superbe et furieuse sera longue, très longue : une bonne cinquantaine d’heures pour la seule trame principale du jeu et vous doublez la note avec les missions secondaires.
Mais tout n’est pas rose dans les larges prairies de Dragon Age
Les graphismes semblent parfois datés, la raideur des personnages prête souvent à sourire, l’interface semble totalement fouillie, les premières heures, les temps de chargement font râler, et bien, malgré tout, "Dragon Age Inquisition" affiche un charme dingue et la promesse tenue d’une aventure épique. Un must de l'heroic fantasy sur consoles de salon et PC.
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