Dessiner la BD "Blacksad" est désormais un jeu d'enfant
Très populaire, le personnage crée par Juanjo Guarnido fait désormais
l'objet d'une leçon spéciale
En janvier justement, Nintendo proposait une leçon spéciale de Zep, le
créateur du célèbre Titeuf. Elle permettait d'apprendre à dessiner ce héros et
sa mèche jaune. La firme japonaise remet le couvert avec la bande dessinée
"Blacksad", une série à l'ambiance de film noir, et qui met en scène
John Blacksad, un chat détective. Très populaire, le personnage crée par Juanjo
Guarnido fait désormais l'objet d'une leçon spéciale. On peut apprendre à
dessiner "Blacksad" grâce à "New Art Academy".
Déjà disponible, cette leçon spéciale permet de reproduire le style si
particulier de son auteur qui a débuté sa carrière dans le dessin animé,
notamment aux studios Disney de Montreuil, avant de se consacrer finalement à
la bande dessinée. Et il le reconnaît lui-même, ce logiciel peut vraiment vous
apprendre à dessiner. La leçon spéciale "Blacksad" signé Juanjo
Guarnido est téléchargeable gratuitement via le jeu "New Art Academy".
Pour la récupérer, il faut aller dans menu principal de "New Art
Academy", cliquez sur le bouton "Partager " et ensuite sur le
bouton "Vérifier les contenus partagés ". La leçon sera ensuite disponible
dans le menu "Leçons personnelles ". Un peu compliqué, mais ça vaut
le détour.
La belle histoire : une demande en mariage par jeu vidéo
interposé
Maintenant, une belle histoire : une demande en mariage par jeu vidéo
interposé. Et ça se passe en Australie. Pour demander en mariage Melissa Swift,
sa compagne depuis neuf ans, Ben Levi, la trentaine, a demandé à l'éditeur
Rovio, le créateur du jeu "Angry Birds ", de faire apparaître dans le
jeu un message très personnel et qui se résume en une phrase :
"Epouse-moi, Mel !". Rovio a planché plusieurs mois avec lui sur
l'activation de ce message pour le moins original. "Angry Birds" en a profité pour se faire un joli coup de pub en filmant la scène pour la
diffuser sur internet. Paradoxe de ce conte de fée vidéoludique, Mel a toujours
détesté ce jeu vidéo parce que son Jules y joue beaucoup trop. Et bien, c'est
pourtant par Angry Birds que Mel a dit oui à Ben. Désormais, elle aime
"Angry Birds" à la folie.
Dans l'actu jeu vidéo, il y a aussi des sorties, et un jeu phénomène. Son
titre : "Don't Starve " à jouer sur PC, Mac et Linux, ça vaut autour
de 15 euros et ça les vaut vraiment, "Don't Starve" que l'on peut
traduire par "Ne mourrez pas de faim ". Il était une fois un dénommé
Wilson, gentleman intrépide et un peu fou aux allures de Johnny Depp, un dandy
littéralement jeté dans un univers sauvage par un démon baptisé Maxwell, un
environnement hostile et naturel dans lequel il devra tout simplement survivre
le plus longtemps possible. Et tel un Adam viré du jardin d'Eden, Wilson n'aura
donc qu'une mission: survivre en s'adaptant dare-dare à son nouvel
environnement. C'est très simple à manier : on se déplace soit à la souris,
soit au clavier, et on clique pour interagir avec les éléments de ce décor
digne de "La guerre du feu ". Ensuite, tout est une question de
logique et de rapidité. Pendant un orage, il faut veiller à éviter la foudre.
Mais d'abord, il faut gérer la faim et exploiter tout ce qui pousse et tout ce
qui vit dans l'aire de jeu : plantes, arbres, fleurs, oiseaux, et même
insectes. Exemple : en ramassant des brindilles et quelques silex, votre avatar
se fabrique ses premiers outils comme une hache pour couper du bois ou une
pioche pour creuser. Combinés, ces matériaux permettront à notre héros de
réaliser son premier feu. Une nécessité. Car dans "Don't Starve"
comme dans la vrai vie, la nuit succède au jour, faisant apparaître des ténèbres
bardées de monstres terrifiants et prêts à vous dévorer en quelques secondes.
Ce sera alors Game Over. Le but du jeu est de tenir le plus de jours et de
nuits possibles. Un jeu réellement addictif, le phénomène du moment à jouer
fissa sur PC, Mac et Linux pour une quinzaine d'euros.
"Leviathan :
Warships", c'est le titre de cette madeleine de Proust qui propose ni plus
moins qu'une bataille navale moderne
Autre jeu avec le retour des batailles navales. "Leviathan :
Warships ", c'est le titre de cette madeleine de Proust qui propose ni plus
moins qu'une bataille navale moderne où, attention, on prend son temps. Une
simulation en tour par tour, simple, destinée aux passionnés pour moins de 10 €.
Pas de cap ou de vitesse à gérer "Leviathan : Warships", il suffit de
cliquer sur la destination pour tracer son chemin.
Pour tirer ou protéger son navire, c'est aussi simple. Des confrontations
qui se déroulent en deux phases. D'abord on choisit son mouvement et ses tirs
puis deuxième phase, toutes vos actions et celles de vos ennemis prennent vie.
Dommage que cette bataille navale moderne soit un quand même répétitive et
finalement rébarbative mais c'est quand même très sympa pour faire une partie
rapidement. Et puis surtout, il y a le mode multijoueur où là, l'ennemi n'est
plus l'ordinateur mais de véritables joueurs et là, la difficulté se corse, le
plaisir également. "Leviathan : Warships" c'est disponible pour PC et
Mac pour moins de dix euros.
Enfin dernière sortie en vue : "Metro : Last Light" , jeu de tir à
la première personne dans un futur post apocalyptique, suite du jeu Metro 2033.
Moscou est envahie de monstres à éliminer dans une atmosphère irrespirable. A
jouer le cœur bien accroché sur consoles et PC et c'est évidemment déconseillé
au moins de 18 ans.
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