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Dépression post-natale : plus sévère que le baby-blues

10 à 20% des femmes souffrent d'une dépression post-natale. C'est trop. Beaucoup trop. La prévention est à la traîne dans notre pays. C'est le constat des experts qui étaient réunis vendredi pour les Journées du Collège National des Gynécologues-Obstétriciens de France.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
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Pour prévenir ces dépressions post-natales, la
France s'est dotée, en 2005, d'un véritable outil de prévention : un entretien non médical prévu vers le quatrième mois de
grossesse. Son objectif : repérer, en amont, les femmes enceintes qui
présentent déjà les signes d'une déprime pouvant persister après
l'accouchement. Mais, et c'est là que le bât blesse, peu de futures mamans ont
recours à cet entretien. Pour quelles raisons ?

Explications du Dr Françoise Molénat, Présidente de la
Société Française de Psychologie Périnatale.

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