Dépression post-natale : plus sévère que le baby-blues
Pour prévenir ces dépressions post-natales, la
France s'est dotée, en 2005, d'un véritable outil de prévention : un entretien non médical prévu vers le quatrième mois de
grossesse. Son objectif : repérer, en amont, les femmes enceintes qui
présentent déjà les signes d'une déprime pouvant persister après
l'accouchement. Mais, et c'est là que le bât blesse, peu de futures mamans ont
recours à cet entretien. Pour quelles raisons ?
Explications du Dr Françoise Molénat, Présidente de la
Société Française de Psychologie Périnatale.
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