Les billets de la colère
"Les
politiciens et les banquiers sont une honte à la Nation ", "Que
quelqu'un retourne dans le passé et fasse que les parents de Rajoy (le Premier ministre) ne se rencontrent jamais ". Deux exemples de
messages écrits sur les petites coupures par des espagnols en colère et qui
partagent ces commentaires sur Twitter.
Ces citoyens victimes de la crise qui
se disent que peut être leur message se retrouvera directement entre les mains
des responsables politiques et économiques espagnols, puisqu'un billet
gribouillé garde cours légal, il reste donc en circulation. Ainsi, sur un
billet de 5 euros, un espagnol écrit directement à Emilio Botin, le gouverneur
de la banque Santander, pour lui dire d'aller se faire empapaouter!
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