50 bougies pour Jeune Afrique
L'invité de l'Hyper revue de presse : François Soudan, directeur de la rédaction de Jeune Afrique , qui fête ses 50 ans. Avec notamment un beau livre sur 50 ans d'histoire de l'Afrique avec le regard de l'hebdomadaire.
On parle beaucoup
ce matin de l'affaire Tapie-Adidas, mais il y a aussi dans la presse un élément
nouveau dans une autre affaire, l'affaire Bettencourt...
Et c'est à la Une du Parisien et d'Aujourd'hui en France : "Soupçons sur l'enquête".
Le juge Gentil, qui a mis en examen Nicolas Sarkozy pour "abus de
faiblesse" serait lié avec l'une des expertes. Ce qui pourrait aboutir au
déssaisissement du juge bordelais. Pour Le
Parisien et son édition nationale Aujourd'hui en France, l'enquête
semble en tout cas fragilisée. L'affaire Bettencourt arrive de toute façon à un tournant, puisque la chambre de l'instruction doit se prononcer jeudi prochain sur les requêtes en nullité formulées par les avocats de Nicolas Sarkozy après sa mise en examen.
Une décision évidemment
très attendue du côté de Nicolas Sarkozy, et des confidences justement sur
l'état d'esprit de l'ancien président...
Reviendra, reviendra pas, pour Jean-Louis Borloo, c'est simple, "il a déjà
en tête la passation de pouvoir en 2017 sur le perron de l'Elysée. Il sait déjà
quelle sera la robe de Carla le jour du triomphe". Le triomphe de 2017 et
la revanche de 2012. A lire dans le nouveau quotidien L'Opinion.
Dans un autre genre, une question aussi dans la presse :
"pourquoi est-ce qu'on se gratte ?"
Un autre genre de démangeaison, mais pourquoi donc se gratte-t-on ? La réponse
était publiée il y a quelques jours avec la publication d'une très sérieuse
étude scientifique sur la question. C'est à lire ce matin dans Aujourd'hui en France . Les chercheurs ont
établi que la démangeaison était provoquée par des cellules nerveuses qui
produisent une molécule spécifique, une peptide, qui transmet le message au
cerveau : ça gratte, ça gratte.
Et la suite n'est pas si simple : la moelle épinière détermine la zone précise
où ça gratte, ce qui commande le réflexe : il faut se gratter. Et miracle,
enfin normalement, le frottement sur la peau bloque l'activité électrique créée
par la molécule de la démangeaison. Et voilà, ça ne gratte plus, en tout cas
jusqu'à la prochaine fois... ou pour certains jusqu'à la prochaine
présidentielle... parce que là apparemment, ça gratte, ça gratte, ça gratte...
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.