Philippe Lellouche : lire apprend à faire des phrases compliquées
"Mon premier grand souvenir c'est "le Château de ma mère " de Pagnol. C'est un univers où petit je me suis identifié tout de suite. Mon maître absolu c'est Albert Cohen, un choc émotionnel et humain. Depuis c'est très difficile de trouver mieux. En ce moment je m'endors avec "Le journal " de Jules Renard et je relis assez souvent "Mémoire d'outre-tombe".
Lire apprend à faire des phrases compliquées, mais aujourd'hui les adolescents ne font que des phrases simples. Ce qui fait le succès d'un livre c'est que l'on a la musique de l'auteur. Le rythme dans l'écriture c'est incroyable".
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