Cet article date de plus de douze ans.

L'Afrique chante l'année nouvelle

Beaucoup plus souvent qu'en Europe, on chante fréquemment l'année nouvelle sur le continent africain.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
  (©)

Nous sommes d’accord,
aujourd’hui, c’est le jour de l’an. Mais demain, le 2 janvier, c’est le premier
carnaval de l’année, là-bas en Afrique du Sud, dans la ville du Cap
avec le grand
défilé et les concerts des Minstrels. Ils nous enseignent que l’année peut
commencer deux fois, le 1er et le 2 janvier…

Et il y a beaucoup de
choses à apprendre, de manière générale, de la nouvelle année dans les musiques
populaires du continent africain.** Un
nouvel an festif, dansant, hédoniste – comme chez nous, mais avec une petite
nuance solennelle, presque cérémonieuse. Il est vrai que, sur ce continent-là,
la réalité économique, sociale et politique donne peut-être des raisons encore
plus urgentes que chez nous d’
espérer en l’année nouvelle** .

 

Les chansons de la chronique d’aujourd’hui : No Bananas Today par The Tulips (1999), Bonne année meilleurs vœux par Mama
Ohandja (2010), Meilleurs vœux par Les
Amazones de Guinée (2008), Bonne année
par Soki Nambi (1978), Bonne année par
Honoré Avolonto (autour de 1970), Bonne
année
par Sally Nyolo (2000).    

 

Vous pouvez également
suivre l'actualité de cette chronique

 

Le livre qui accompagnait notre
chronique de cet été, Les chansons
qui ont tout changé
, est sur le kiosque de Radio-France et
en librairie avec sa cinquantaine
d'histoires de chansons historiques, de Ne
me quitte pas
de Jacques Brel à Didi
de Khaled, de Rock Around the Clock
par Bill Haley à Mignonne allons voir si la
rose
...

 

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